Lampemètre 266 : réplique de Metrix 310

Il y a déjà bien longtemps (20 ans ...) j'ai entrepris de faire une copie du lampemètre Metrix 310.
Dix ans plutôt, j'avais eu l'occasion de me servir d'un vrai et surtout de photocopier sa notice que j'avais conservée précieusement...
N'ayant pas tous les commutateurs pour refaire à l'identique le lampemètre, j'avais opté pour des combinaisons à douilles bananes + straps.
 


Depuis sa fabrication, ce premier lampemètre m'a rendu de nombreux services et la particularité de la commutation ne m'a jamais gêné. Aujourd'hui, à la demande d'un radiophile alsacien qui se reconnaitra, j'ai construit un deuxième lampemètre sur le même principe. Un clone, quoi....
Le premier était dans une boite en bois, celui-ci a droit à la tôle d'acier peinte !

Voici étape par étape la construction de ce lampemètre 266. Pourquoi le numéro 266 ? Tout simplement parce que je note tout ce que je fais dans des cahiers (et oui, vive le crayon et le papier) et ce lampemètre a été consigné sous ce numéro (aujourd'hui, le compteur d'archives accuse plus de 2200....)

1) mécanique

L'ami alsacien m'a procuré la boite toute faite: merci, je ne suis pas fort en tôlerie, moi !











J'ai choisi une forme de pupitre, plus aisée à utiliser. La boite est pliée et soudée, seules la face avant et la plaque du dessus sont amovibles.








La face avant comporte essentiellement le milliampèremètre, toutes les douilles 4 mm et les interrupteurs et commutateurs.
La plaque du dessus comporte tous les supports que l'on désire, câblés tous en parallèle, chacune des bornes étant numérotée et aboutissant à une douille banane de même numéro.

Le support ayant le plus de broches étant le noval, il y a donc 9 douilles numérotées.
 



A l'intérieur de la boite, il n'y a que 2 transfos, les fusibles et l'arrivée du secteur: tout le reste du câblage est derrière la face avant et sous la plaque-supports
 

La suite de la construction...